Les messages d’un père à sa fille, d’un Roi à l’héritière
Pour ses 18 ans, Elisabeth a vécu une cérémonie à la fois classique et moderne, formelle et humaine au Palais royal de Bruxelles. L’occasion pour Philippe de lui témoigner toute sa confiance. Et pour elle d’affirmer son engagement pour le pays.


C’est une cérémonie à la fois classique et moderne, formelle et humaine qui s’est déroulée au Palais royal de Bruxelles, vendredi matin, pour les 18 ans de la princesse Elisabeth, future première Reine des Belges. Classique et moderne pour la partie musicale et chantée ; formelle pour le Grand Cordon de l’Ordre de Léopold dont la jeune femme a été décorée par son père, ou par le choix de certains invités (du monde politique, judiciaire, religieux, philosophique, culturel) ; humaine par la présence de 80 jeunes de 18 ans, également mis à l’honneur, et surtout par les allocutions prononcées par Philippe et Elisabeth.
Car ces deux discours comportaient, certes, un volet « professionnel », lié à l’exercice de la fonction royale. Mais aussi un volet plus personnel, assez inédit. Rarement on aura vu le roi Philippe dans un tel registre, et avec une telle pointe d’émotion.

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