En Irak, les étudiants grossissent les rangs de la contestation
Nour est étudiante en dentisterie, Hassan, ingénieur en aviation. Tous deux sont descendus dans la rue pour la première fois. « Puisque tout, littéralement tout, doit changer. »

Dans la mosaïque de couleurs présente place Tahrir à Bagdad, en Irak, depuis des jours, de nombreuses taches blanches sont venues se fondre hier. « Je n’ai pas besoin d’une raison particulière pour venir ici aujourd’hui puisque tout, littéralement tout, doit changer », avance Nour, étudiante en dentisterie. A 21 ans, cette Irakienne vêtue de sa blouse immaculée a décidé de descendre dans la rue pour la première fois. « Avant, mes parents n’étaient pas d’accord pour me laisser manifester, mais cette fois-ci, je n’attends pas leur permission, c’est trop important. Et puis je leur ai dit que j’étais dans un endroit sûr », poursuit l’étudiante, un sourire au coin des lèvres.

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