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Pour fêter Halloween, le Belge aime de plus en plus faire peur

Professionnelle du maquillage et des effets spéciaux, Laëtitia Mariette constate que le public exprime plus fortement le besoin de se lâcher l’espace de la soirée d’Halloween.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

Sa grande journée d’affluence de l’année se profile à grands pas. Dans son appartement de Waterloo, Laëtitia Mariette ne cache pas son impatience et son excitation à l’approche d’Halloween. Maquilleuse professionnelle depuis huit ans, la jeune femme s’est spécialisée dans les effets spéciaux. Autant dire que le 31 octobre, les amateurs de sensations fortes se pressent au portillon. A un point tel que la jeune entrepreneuse a créé son propre événement.

« Depuis quatre ans, je recevais de plus en plus de demandes pour Halloween », commente Laëtitia. « Je ne parle pas des enfants mais des adultes qui se rendent à des soirées privées ou en discothèque. Le 31, j’installe donc un salon de maquillage à Rhode-Saint-Genèse de 9 heures à minuit. J’ai engagé deux maquilleuses et quatre stagiaires que j’ai formées et avec qui je vais transformer une bonne centaine de personnes en zombies, sorcières et monstres. »

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