Gouvernement, Parlement, partis, préformateurs…: friture sur toute la ligne au fédéral
Les gouvernements des Régions sont en place, le pays tourne. La Belgique, c’est une autre histoire. On est suspendu aux discussions secrètes en coulisse autour des préformateurs. L’Etat tangue (un peu).
Le gouvernement en affaires courantes qui rétrécit, le Parlement qui prend la tangente, les partis qui n’ont pas de présidents, les préformateurs qui sont attendus au tournant au milieu d’un océan de scepticisme parmi les acteurs politiques et d’indifférence dans la population… Qui va allumer la lumière ?
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir7 Commentaires
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Posté par Philippe Pasman, mercredi 30 octobre 2019, 17:03
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Posté par Deckers Björn, mercredi 30 octobre 2019, 12:55
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Posté par Philippe Pasman, mercredi 30 octobre 2019, 16:28
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Posté par Bricourt Noela, mercredi 30 octobre 2019, 11:33
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Posté par Slezingher , mercredi 30 octobre 2019, 11:05
Plus de commentairesOn dirait deux croques mort. C'est peut être la Belgique qu'ils vont enterrer.
On peut critiquer les petits hommes d'Etat tant qu'on veut, les premiers responsables de l'impasse actuelle sont les citoyens qui en Belgique comme ailleurs perdent la boule et ont des exigences extrêmes inconciliables. Le Royaume-Uni est dans la crise, l'Espagne aussi et d'autres. Le fait est qu'en faisant la fête au PTB, les électeurs francophones laissent directement ou par procuration au PS un mandat impérieux (à gauche toute!) et en faisant la fête au VB, les électeurs flamands ont laissé également à la NVA un mandat un forme de couteau sur la nuque. Alors oui, ils doivent s'entendre, mais dites moi sur quoi ils peuvent s'entendre sans trahir leur électorat et plus encore les extrémistes prêts à bouter le feu. La Belgique dispose encore d'une lucarne pour former un gouvernement. Au tour suivant, on pourrait aboutir à une situation comparable à celle qui prévaut depuis dimanche dernier en Thuringe, plus aucune majorité n'est possible. S'il manque d'hommes et de femmes d'Etat, il manque surtout des électeurs qui garde la tête sur les épaules!
Pour une fois, je suis d'accord avec vous.
Et la politique climatique, elle va s'arrêter à la frontière entre le nord et le sud?
Nos hommes et femmes politiques sont probablement individuellement des " braves" personnes mais dans le suivi des politiques de parti, pas un seul n'a la trempe d'un homme ou d'une femme d'Etat.L'intérêt des partis passe avant l'intérêt des citoyens.Par ailleurs, pas un seul de ces Messieurs,Dames n'a le courage de ruer dans les brancards et de mettre ses collègues devant leurs responsabilités. Quand on se rend compte des difficultés, actuelles et futures, financières, économiques, climatiques et de l'évolution qui se fait par l'intensification de l'utilisation de l'intelligence artificielle, il serait temps que ces hommes et femmes politiques assument réellement leurs responsabilités! Pas comme certains qui recherchent uniquement des positions très rentables et peu exposées à l'Europe et abandonnent leur poste!