L’Etat belge et le syndrome de l’abandon
L’absence d’affect et d’émotion perceptible à propos de cette Belgique fédérale en affaires courantes depuis bientôt un an, pourrait masquer un lent délitement.


Un État fédéral à l’abandon ? On n’en est pas encore là mais il y a des indices qui dérangent et commencent à inquiéter. Les citoyens n’ont certes pas mis leurs drapeaux aux balcons mais c’est peut-être pire. L’absence d’affect et d’émotion perceptible à propos de cette Belgique fédérale en affaires courantes depuis bientôt un an, pourrait masquer un lent délitement. Comme si un gaz invisible était à l’œuvre et risquait d’anesthésier l’Etat belge définitivement, à l’insu de notre plein gré.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir11 Commentaires
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Posté par Frere Marc, mardi 5 novembre 2019, 21:42
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Posté par Vandergheynst Frédéric, mercredi 30 octobre 2019, 21:56
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Posté par PAEME FREDERIC, mercredi 30 octobre 2019, 19:30
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Posté par De Coster Jos, mercredi 30 octobre 2019, 11:57
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Posté par MARTIN Roland, mercredi 30 octobre 2019, 10:43
Plus de commentairesLa technique est peut être vieille mais elle marche toujours. Vous désignez un ennemi (NVA pour les uns PS pour les autres ) vous le caricaturez vous le faites haïr par vos troupes et vous vous présentez comme le seul capable de lui faire barrage. Ça permet de faire des voix, mais cela rend un compromis impossible. Bye bye Belgium
Il est évident que la seule façon de sauver l'état belge c'est de tourner le dos au parti qui veut sa fin, la NVA (moins par moins égale plus). C'est mathématiquement possible mais le fait que les "petits" partis traditionnels flamands (CD&V, SPA, VKD) n'osent pas déplaire à la NVA équivaut à une majorité absolue de la NVA (puisqu'absence d'opposition). Auraient-ils tant à perdre que de monter au gouvernement en communiquant qu'ils le font pour sauver l'état, ce qui est SOI-DISANT le souhait d'une majorité de flamands qui veulent garder une Belgique unie.
La Belgique est simplement en train de s'évaporer comme le veulent le Nord et, bien qu'ils s'en défendent, les sudistes...
België staat op springen, België is te einde.... Indien de media en de politici dit maar steeds blijven roepen en herhalen zal het er een dag wel van komen. En dat is nu juist de bedoeling van enkele partijen, of beter gezegd van enkele kopstukken van deze partijen. Want in België bestaat geen democratie maar particratie waarbinnen slechts enkelingen het lot van ons allen bepalen. Hoe is het mogelijk dat de vertegenwoordiger van een partij (die maar 10% van de stemmen haalt) die België van de kaart wil vegen, aangeduid wordt om een Belgische regering te vormen. Waar blijven de traditionele partijen met een morele basis die gestoeld was op samenhorigheid en solidariteit, om samen een regering te vormen ten goed van het land en haar burgers en niet om eigen partijvermogens en -invloeden te vergroten. En is dit dan met een zetel minder of meer per (taal)-gemeenschap, het zij zo; het zijn toch niet de parlementariërs die beslissen maar de partijcenakels. België is een land met oneindige mogelijkheden maar door het knoeiwerk van politiekers is België beland in de kring van Italië, Griekenland, Portugal enz. Onze nutteloze deelregeringen kosten ons 17 miljard euro!! De overgrote meerderheid van de inwoners van dit land snakken naar een verantwoordelijk beleid die rust, vrede, en voorspoed mogelijk maakt. Het getuigd van domheid en egoïsme dat niet in te zien!
L'évanescence de l'Etat fédéral, certes, mais pas celle des taxes et impôts !