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BCE: pour Christine Lagarde, l’Allemagne n’a pas fait «les efforts nécessaires» de relance budgétaire

Les politiques de relance étaient «bien coordonnées dans l’immédiate après-crise» mais «depuis, les pays et en particulier ceux qui ont de l’espace budgétaire n’ont pas vraiment fait les efforts nécessaires. »

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Les pays en excédent budgétaire, dont l’Allemagne, «n’ont pas vraiment fait les efforts nécessaires» en matière de relance budgétaire pour consolider une croissance fragile, a estimé mercredi au micro de RTL Christine Lagarde, qui prendra vendredi ses fonctions à la tête de la Banque centrale européenne.

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Les politiques de relance étaient «bien coordonnées dans l’immédiate après-crise» mais «depuis, les pays et en particulier ceux qui ont de l’espace budgétaire n’ont pas vraiment fait les efforts nécessaires, on pense évidemment à des pays qui sont de manière chronique en excédent budgétaire comme les Pays-Bas, l’Allemagne, un certain nombre d’autres dans le monde», a déclaré la nouvelle patronne de la BCE.

 

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8 Commentaires

  • Posté par Deckers Björn, mercredi 30 octobre 2019, 8:48

    Le Schwartze null très très nul se retourne contre l'Allemagne dont la machine se grippe durablement. Le problème, c'est qu'entre temps, les attitudes boutiquières de l'Allemagne ont grippé l'UE. On va peut être enfin arrêter d'encenser stupidement Angela Merkel. La misérable rentière de la rente Schröder a cru pouvoir régner sur la ruine de l'UE avec ses exportations en Chine et la dèche pour les travailleurs allemand. Las, il suffisait que la Chine tousse pour que le chateau de carte s'effondre. Merkel doit partir et le plus vite sera le mieux. L'aveuglement des allemands à son endroits est pathétique!

  • Posté par Lafarce P.H., mercredi 30 octobre 2019, 11:05

    Mme Merkel a surfé/dirigé pendant une assez longue période de conjoncture faste pour l'Allemagne. Dans quelle mesure a-t-elle contribué à ce succès ? Ce n'est qu'avec du recul qu'on peut juger la gestion d'un(e) mandataire politique. Toujours est-il que son parti, le CDU, est en chute libre depuis deux ans. Si beaucoup d'électeurs ont longtemps été convaincus qu'elle était une aubaine pour l'économie allemande, on peut en effet reprocher à Mme Merkel et le CDU d'avoir freiné, voir bloqué bon nombres de grands projets européens. Les reproches de Mme Lagarde n'abordent qu'un seul de ces blocages. Le Royaume Uni et la France ont souvent été un contrepoids pour rétablir un semblant d'équilibre entre les "grands" en Europe. De ce point de vue ( et uniquement de ce point de vue là), il est regrettable que le Royaume Uni quitte l'Union. On ne peut qu'espérer que " l'après-Merkel" sera un peu plus pro-européen.

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