Le «règne de terreur» imposé par Donald Trump au Grand Old Party
Il ne faudra pas compter sur beaucoup de partisans de la destitution au parti républicain, tétanisé par les tweets du président.


Donald Trump les appelle sa « première ligne de défense ». Les élus républicains du Congrès montent au front en rangs serrés, qu’ils fussent minoritaires à la Chambre des représentants ou, au plus grand soulagement du président américain, majoritaires au Sénat, ce qui lui garantit une étanchéité relative vis-à-vis de la procédure de destitution enclenchée formellement jeudi à la Chambre.
Toute la question consiste à savoir si le navire républicain restera à flot, jusqu’à une éventuelle réélection de Trump en novembre prochain. Les voies d’eau pourraient se multiplier à l’aune des révélations portant les abus de pouvoir, les obstructions à la justice et les conflits d’intérêts que va exhumer l’enquête publique pour destitution qui s’est ouverte sur la colline du Capitole.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
M. Picard, vous devenez la tête de Turc des aficionados de M. Trump, qui emploient d'ailleurs les mêmes méthodes que lui. Vos articles sont intéressants, permettant de mieux appréhender ce qui se passe actuellement outre-Atlantique. Espérons que les élus républicains du Congrès seront capables de courage, à l'instar de M. McCain, tant pour l'avenir des USA que du reste du monde.
Ce Trump bashing est tout simplement consternant de bêtise!
Je me demande si Maurin Picard n'est pas un peu cyclothymique. Mais bon, on ne peut lui en vouloir, les "Démocrates" le malmènent beaucoup.