Brussels Airlines: les limites de la transparence
Dès lors qu’on choisit de jouer le jeu de la communication, il conviendrait que celle-ci soit complète.


Huit pourcents. Tel est l’objectif de marge bénéficiaire qui a été assigné à Brussels Airlines par sa maison-mère allemande, le groupe Lufthansa. Et tel est le mantra qui, désormais, rythme la communication de la compagnie aérienne. « Il faut changer le viseur de la croissance vers la profitabilité », justifie l’administratrice déléguée, Christina Foerster.
8 % de marge bénéficiaire, donc, sans que l’on sache vraiment ce qui justifie concrètement cet objectif. Si ce n’est qu’il s’agit, dans la bouche de la direction de Brussels Airlines, d’un « standard industriel » dans le secteur, qui est imposé au même titre par Carsten Sphor, le CEO de Lufthansa, aux autres compagnies du groupe telles que Swiss et Austrian Airlines.

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