Frères de: maudits soient-ils
Le coup franc de Frédéric Larsimont


Les veillées mortuaires et les enterrements sont toujours propices au toilettage de la mémoire, à l’embellissement du passé voire, pour les pleureuses tarifées de jadis ou les apôtres de l’élégie, à une conception du souvenir proche de la béatification. Au bal des hypocrites et des brûleurs d’encens, ils ont ainsi été nombreux à se bousculer depuis l’annonce du décès inopiné de Dominique D’Onofrio.
Des hommages émus et sincères ont plu, d’autres – qui l’étaient nettement moins – ont… déplu. Le tout composant, dans le tralala de circonstance, le cortège des oraisons à l’adresse d’un mort qui, de son vivant, savait qu’il divisait sur son passage. Comme tout le monde. Personne n’échappe à la règle.

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