Donald Tusk sur la migration: «Pour sauver la démocratie libérale, il faut renoncer à l’approche naïve d’un humanitarisme total»
A 20 jours de la fin de son mandat, le Polonais a livré au « Soir » son premier entretien testamentaire – il en fera peu – de président du Conseil européen.

Lors d’un mémorable sommet européen, Donald Tusk s’était âprement opposé au président de la Commission Jean-Claude Juncker qui prônait son plan de relocalisations obligatoires de réfugiés. Tusk, depuis le début de la crise, avait défendu comme le Hongrois Viktor Orban qu’il fallait d’abord mieux contrôler les frontières. Le président sortant du Conseil européen revient sur les enseignements de ce qui fut l’une des grandes crises de son mandat.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Pour sauver la démocratie sociale, il faut renoncer à l'approche naïve d'un humanitarisme libéral..
Tout a fait!
" L'UTOPIE multiculturelle s'effondre - 40 ans d'angélisme - d'aveuglement et de déni " A MEDITER . La démarche clientéliste communautariste va provoquer des conflits . A FORCE d'ignorer les problèmes les citoyens vont choisir des partis " autoritaires" . Gardons nos larmes pour le futur . -- TRISTESSE POUR NOS ENFANTS .
Tusk pense juste. D'une grande lucidité!