Du banc des accusés, le Kremlin réplique: «Ceci est une nouvelle guerre froide»
La 52ème Conférence de Munich sur la Sécurité a largement été dominée par l’escalade militaire russe dans le dossier syrien. Le rendez-vous a confirmé le schisme grandissant entre le Kremlin et l’Ouest.


Dmitri Medvedev a posé ça, là, d’entrée de jeu. « La première guerre froide a pris fin il y a 25 ans », a dit le Premier ministre russe à l’entame de son discours, débité à un rythme de mitraillette. Et pour les distraits qui n’auraient pas capté le message de cette « première » guerre : « Pour parler crûment, nous entrons rapidement dans une période de nouvelle guerre froide (…) Je suis parfois perplexe : sommes-nous en 2016 ou en 1962 ? »

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