Nethys: les trucs et astuces utilisés par le management pour toucher le pactole
Pendant trois semaines, «Le Soir» a enquêté sur la «grande distribution» au sein de la société liégeoise. Qui a décidé de l’octroi des 18,6 millions d’indemnités et bonus ? Pour quelles raisons ces sommes ont-elles été payées? Qui en a été informé?
C’est longtemps resté, on exagère à peine, un des secrets les mieux gardés du pays, une information enfouie sous une couche si épaisse de silences, de faux-fuyants, de duperies, qu’en comparaison, le dossier des missiles nucléaires stockés à Kleine-Brogel se résume à une puérile cachotterie. Personne ne devait savoir que si les dirigeants de Nethys avaient accepté, en mai 2018, de limiter leurs rémunérations pour rester dans les clous du décret gouvernance, ce n’était pas par amour du service public mais parce qu’ils avaient reçu de solides compensations. Vraisemblablement à l’insu de leur actionnaire, l’intercommunale Publifin.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir17 Commentaires
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Posté par Fovel Alain, mercredi 20 novembre 2019, 17:54
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Posté par martin daniel, lundi 18 novembre 2019, 0:14
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Posté par Surmont Willy, samedi 16 novembre 2019, 8:21
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Posté par Fovel Alain, vendredi 15 novembre 2019, 19:08
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Posté par Mente Daniel, vendredi 15 novembre 2019, 18:25
Plus de commentairesLa justice devrait condamner Stéphane Moreau à travailler 3 ans chez Uber comme livreur de pizzas. Cela lui permettra de comprendre la valeur du travail !
Alain Palmans, directeur général de la Compagnie intercommunale liégeoise des Eaux (CILE), dont Sudpresse avait révélé le sauvetage par les administrateurs. Il a touché une compensation sous la forme d'une prime unique sur son assurance-groupe qui a ensuite été clôturée. grand ami de moreau fidèle parmi les fidèles (secrétaire communal ans, puis awans et tjs dans les mêmes CA), un obligé, nettoyeur comme lui mais ayant l'air plus 'gentil' sans pour autant l'être, aime tout autant l'argent et le pouvoir Fin de la discussion Écrivez un message...
Toutes mes félicitations au Soir pour ce travail d'investigation! Sans ces courageux journalistes, la perversion et la vénalité de certains hommes, politiques ou assimilés, ne connaîtraient plus aucune limite! A présent, au travail pour le remboursement de ce qui au départ appartient au public!
Invraisemblable, ils ne méritent pas un tel salaire pour le boulot qu’ils ont fait. Merci au PS de les avoir virés, on attend que la justice récupère ses sommes. Ce sont des escrocs qui ont volé de l’argent publique. On attend une justice, en tôle et confiscation de leurs biens.
Politisation et clientèlisme ont permis des rémunérations fantômes pour des absents. Un décret mal ficelé sur le maximum de rémunération a donné l'ouverture à indemnités/bonus ressemblant à des pactoles: l'arroseur arrosé en somme.