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L’enquête financière, «arme ultime» contre la traite des êtres humains

Myria insiste sur l’importance de mener des enquêtes financières pour « paralyser » les systèmes criminels. Pour cela, le Centre fédéral prône un changement de méthode. Et plus de moyens.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 2 min

La traite des êtres humains est une affaire de gros sous. L’exploitation sexuelle et/ou économique peuvent s’avérer (très) lucratives pour des groupes criminels bien organisés. Ainsi, dans un récent dossier pour exploitation économique d’ouvriers roumains et polonais, le tribunal avait décidé la confiscation de près de 360.000 euros contre deux gérants d’entreprises. Trois victimes, constituées parties civiles, avaient reçu des dommages et intérêts à hauteur de 2.500 euros.

« Pour rendre possible une indemnisation effective des victimes, il est indispensable de saisir, dès le départ, le patrimoine criminel des suspects », plaide le Centre fédéral Myria dans son rapport annuel portant sur la traite des êtres humains, publié vendredi.

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