Valéry Rosier: «J’aime l’idée d’un film en mouvement»
Dans son premier long-métrage, le Belge Valéry Rosier explore le thème de la solitude avec un cynisme assez délicieux. A l’ombre d’un palmier majorquais…

Quand on découvre Parasol, on se demande si Valéry Rosier n’a pas vécu de près ou de loin un traumatisme en vacances.« Je suis déprimé tous les étés, plaisante le réalisateur. Je ne sais pas pourquoi. J’adore l’automne et l’hiver. Ce sont des mois où on affronte le froid. Quand il commence à faire chaud, je m’endors, je culpabilise de ne rien faire, tout le monde est en vacances donc on ne peut appeler personne… Il y a un sentiment de solitude. »
La solitude, c’est une des thématiques centrales de ce premier long-métrage à l’univers un peu barré, que l’on sent inspiré de celui d’Ulrich Seidl. Sous le soleil de Majorque, les destins se croisent et dérivent. Il y a Alfie, un jeune Anglais qui compte bien sur ses vacances espagnoles pour trouver amour et amis ; Péré, un père célibataire au travail peu réjouissant et Annie, une attachante septuagénaire partie dans cette contrée lointaine pour retrouver un homme rencontré sur internet.

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