La CGSP et la CSC Transcom demandent que le plan de restructuration - qui menaçait au départ 1.900 emplois - ne prévoie pas de licenciements secs et améliore les conditions en cas de départ volontaire. Le syndicat socialise exige également de meilleures garanties pour l'avenir. "Aujourd'hui, ils garantissent que rien ne changera jusqu'en juin 2021, l'incertitude est donc importante", poursuit Patrick Averens.
L'ACOD critique également le recours croissant à la sous-traitance, les mauvaises conditions de travail des nouveaux employés et un "affaiblissement" des règles en matière de ressources humaines.
Le conseil d'administration se réunira mercredi et devra se positionner sur le constat d'échec de la commission paritaire. Il pourrait passer outre l'avis de cette dernière tandis que les syndicats appellent à privilégier la voie de la négociation.
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