Grand format - Dans les coulisses des Plaisirs d'hiver à Bruxelles
En près de 20 ans d’existence, les Plaisirs d’hiver ont gagné en reconnaissance. Mais aussi en légitimité.


Au tout début du XXIe siècle, les Plaisirs d’hiver ont pointé le bout du nez. Un bébé de son temps, qui a compris qu’attirer les touristes développait aussi le tissu économique de la ville. En 2000, soit l’année précédant la première édition, le mois de décembre était parmi les moins fréquentés à Bruxelles en termes de nuitées. Trois ans plus tard, le dernier mois de l’année atteignait le troisième rang. En 2018, à la même période, le taux d’occupation des hôtels a atteint 70 % et presque 95 % la nuit de la Saint-Sylvestre.
Au siècle précédent, en guise de marché de Noël, il fallait se contenter de quelques chalets parsemés sur la Grand-Place et d’une patinoire de guingois. Pas très vendeur pour les tour-opérateurs, même sur l’une des plus belles places du monde...
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les plaisirs d'hiver n'ont pas 20 ans, mais peut-être 4 ou 5 ans, car c'était un marché de Noël. Si je vais à Bruxelles, c'est pour voir le Marché de Noel, les plaisirs d'hiver je ne connais pas.
Une grande foire de la médiocrité, la malbouffe la consommation effrénée de produits ephémères de piètre qualité. de papiers gras, d'embouteillages de piétons hagards, qui depuis vingt ans pollue ce qui est aussi le centre de ma ville . Comme s'il n'y avait pas moyen d'organiser quelque chose d'un rien plus original que le sempiternel marché de noël avec patinoire, auquel n'échappe même pas la plus petite des bourgades!