Bozar consacre une grande rétrospective à Keith Haring : un parcours joyeux et grave dans l’œuvre d’un artiste activiste, témoin et acteur de son époque.
Article réservé aux abonnésChef adjoint au service Culture
Par Jean-Marie WynantsTemps de lecture: 5 min
Il suffisait de voir la foule présente jeudi matin à la présentation de presse de l’exposition Keith Haring à Bozar pour comprendre qu’on débordait largement du cadre habituel. À côté des journalistes spécialisés dans le domaine de l’art, des gens venus du monde du rock, de la musique, de la mode, du design, d’associations LGBT… L’artiste se serait sans nul doute réjoui de voir ainsi tant de gens différents rassemblés, lui qui a toujours défendu l’idée du mélange des genres (et des gens) et d’un art populaire, accessible au plus grand nombre.
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La Journée mondiale de l’Art nouveau se tient ce samedi. En point d’orgue de cet événement, les chefs-d’œuvre d’orfèvrerie de la Fondation Roi Baudouin s’exposent à côté du Palais royal de Bruxelles.
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