La voiture cède lentement du terrain: des différences importantes selon les régions
La part modale de la voiture s’effrite lentement. Il y a vingt ans, elle était de 67 %. Elle est de 61 % en 2017.


Cela n’étonnera personne : la voiture reste le moyen de transport ultra-dominant en Belgique. Mais depuis 20 ans, elle cède progressivement du terrain face aux autres modes de déplacement. Le Soir a pu prendre connaissance de Monitor, la troisième grande enquête de mobilité réalisée par le ministère de la Mobilité en collaboration avec l’institut Vias. Les transports en commun et les modes actifs (le vélo et la marche à pied) prennent des couleurs.
1
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir17 Commentaires
-
Posté par Bricourt Noela, vendredi 17 janvier 2020, 17:58
-
Posté par Platteau Olivier, jeudi 16 janvier 2020, 17:52
-
Posté par BOERAEVE PHILIPPE, mercredi 11 décembre 2019, 21:48
-
Posté par Willemart Alain, lundi 9 décembre 2019, 12:51
-
Posté par Bricourt Noela, lundi 9 décembre 2019, 11:31
Plus de commentairesMa gare est en ruine, non chauffée pendant l'hiver. Le plus souvent les trains qui me permettent de me rendre dans de grandes villes sont très anciens et même vétustes.
Fait marrant: cet article est mis avec des articles sur le salon de l'auto :-) Réflexion: le train est loin de rivaliser avec la voiture, pas assez d'offres, les petites gares de village ont disparues (dans le mien, il y avait 2 gares), les lignes ferrovières ont été détruites, ... sans parler du prix du train, retards fréquents, annulation de train, grèves, vol de câbles, ...
Rien dans le titre ne laisse présager que le recul de la voiture est en termes relatifs. Le lecteur cycliste que je suis rêve déjà d’un « terrain » où la voiture n’est plus dominante. Déception à la lecture de l’article : en termes absolus, le nombre de voitures sur le terrain augmente… Un tel titre à la Une n’est pas des plus heureux !
Tout est fait à Bruxelles pour dégoûter davantage l'automobiliste. Mais celui-ci n'est pas dégoûté car il n'a souvent pas le choix, l'offre de transport alternatif étant insuffisante. Résultat: le réseau se réduit, et la congestion augmente. Merci bien.
Sans nuance. Plus la bonne vieille culpabilité. C'est qui Moniteur? Enquête payée par qui? Commandée par qui? Réalisée dans quelles conditions?