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Requiem pour Marieke Vervoort

Pendant trois ans un journaliste sportif et un photographe du New York Times ont suivi Marieke Vervoort, la championne paralympique belge et « bekende vlaming ». Parce qu’ils savaient qu’un jour, la jeune femme déciderait de mourir, par euthanasie.

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Editorialiste en chef Temps de lecture: 5 min

Une femme blonde habillée de noir avec un collier de perles, embrasse le visage d’une jeune femme aux cheveux très courts, façon punk, allongée dans son cercueil. L’image est incroyable. Insoutenable pour certains, troublante pour d’autres. Très belle en fait, et forte, si forte. Cette photo, parue avec bien d’autres dans le New York Times en fin de semaine dernière est celle de Marieke Vervoort, athlète paralympique belge et multimédaillée. C’est Marieke qui est dans ce cercueil de bois, et c’est sa maman Odette qui l’embrasse, alors qu’elle vient juste de mourir. A sa demande. Par euthanasie.

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