Un loup pour l’homme La vérité si je mens

Avec un tel titre, on s’attendait à une pièce sauvage, mais la création de Violette Pallaro s’avère aussi inoffensive qu’un labrador édenté.

Jusqu’au 20 décembre 2019 au Théâtre National (Bruxelles). Les 11 et 12 février 2020 à la Maison de la culture de Tournai. Les 24 et 25 février sur Mars (Mons).

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Copyright Hubert Amiel_002-031219-001704-nef

Par Catherine Makereel

Publié le 12/12/2019 à 18:07 Temps de lecture: 2 min

On ne va pas se raconter d’histoires. Puisque Violette Pallaro enfonce le clou (voire le marteau-piqueur) pour dénoncer nos petites stratégies de mensonges et tricheries au quotidien, il serait absurde de se voiler la face. Soyons donc clairs : Un loup pour l’homme, actuellement au Théâtre National, s’avère décevant.

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1 Commentaire

Posté par Coquiart P , samedi 14 décembre 2019, 11:29

Bonjour, je suis en désaccord avec cet article négatif. D'abord, il y a erreur de fond quant au compte-rendu sur la "saynète du directeur" où le véritable sujet n'est pas le discours que le directeur doit faire à ses employés mais bien la manipulation d'une mère très perverse psychologiquement. Cette mauvaise lecture de cette saynète par l'auteure de l'article est révélatrice de sa compréhension biaisée par l'a priori d'avoir "une pièce sauvage". Mais non, il ne s'agit pas de cela dans cette pièce excellemment servie par des dialogues maîtrisés par de très bons acteurs. Pour moi il s'agit de conter des histoires de petits et grands mythomanes d'où transpirent la souffrance de ceux qui se les racontent et de ceux qui en sont victimes. Raconter cette histoire-là est bien utile aux personnes empathiques :)

Posté par Coquiart P , samedi 14 décembre 2019, 11:29

Bonjour, je suis en désaccord avec cet article négatif. D'abord, il y a erreur de fond quant au compte-rendu sur la "saynète du directeur" où le véritable sujet n'est pas le discours que le directeur doit faire à ses employés mais bien la manipulation d'une mère très perverse psychologiquement. Cette mauvaise lecture de cette saynète par l'auteure de l'article est révélatrice de sa compréhension biaisée par l'a priori d'avoir "une pièce sauvage". Mais non, il ne s'agit pas de cela dans cette pièce excellemment servie par des dialogues maîtrisés par de très bons acteurs. Pour moi il s'agit de conter des histoires de petits et grands mythomanes d'où transpirent la souffrance de ceux qui se les racontent et de ceux qui en sont victimes. Raconter cette histoire-là est bien utile aux personnes empathiques :)