L’avocat d’Albert II sort du silence: «Il n’a jamais considéré Delphine comme sa fille»
L’avocat du roi s’est toujours montré discret. Il a accepté de dévoiler au « Soir » en exclusivité la ligne de défense d’Albert II.


Jusqu’ici, Me Alain Berenboom, avocat d’Albert II, se montrait très discret sur les arguments avancés pour défendre son royal client devant la justice. Pour la première fois, il accepte de nous répondre à ce sujet, réfutant point par point les éléments évoqués ci-contre pour expliquer l’attitude de l’ex-Roi dans cette « affaire Boël ».
Concernant un potentiel aveu de paternité : « Il n’existe pas le moindre témoignage attestant qu’Albert affirmait que Delphine était sa fille, nous assure-t-il. Aucun élément ne permet de penser qu’il ait confié à quelqu’un qu’elle était sa fille. Une seule lettre a été produite dans laquelle Albert demande “comment va notre petite ?”, ce qui n’est qu’une expression, pour parler de la fille de sa copine. Ce n’est pas un aveu de paternité. »

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
L'affaire cette fois ci semble pliée, en choisissant, sauf si ce choix n'est pas directement de lui mais de ses conseillés les plus fidèles, Alain Berenboom pour défendre sa cause indéfendable paternellement s'entend, Albert II n'avait pourtant pas embauché un manche...Il ne reste plus qu'à ce célèbre maître du barreau romancier, chroniqueur à ses heures de notre quotidien de "Bon dieu de Bon Soir", préféré, de nous concocter à propos de cette sinistre et royale farce de bien mauvais gout, un roman sur lequel nous nous ruerons comme dab dès sa sortie...Vieux liégeois pur jus j'ai toujours eu et j'ai encore depuis mon passage à l'école primaire, dans les années 50 du siècle passé, des 'camas ritals de chez Rital"... J'ai même eu une belle maman débarquée à Liège et à 16 ans révolu de ses Abruzzes natales : c'est dire si "La recette du pigeon à l'italienne" je l'avais dévoré d'une traite, les yeux écarquillés... Un nouveau roman "Berenboomien" ayant pour titre,: "Le pigeon et la douce italienne", n'y pensons pas...Dolce Paola, on connait la chanson...Pourquoi pas dès lors? : "La veille calabraise refait la gueule..." fiction préfacée par Salvatoré tout seul.. Alain B du Soir.be, en tout bien tout honneur, au bonheur de vous lire...
«Il n’a jamais considéré Delphine comme sa fille» Une lapalissade (ou vérité de La Palice) consiste à affirmer une évidence immédiatement perceptible.