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L’intérêt d’une commémoration guerrière

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Journaliste au service Forum Temps de lecture: 2 min

Reconstitutions, hommages, expositions… Le centième anniversaire du début de la bataille de Verdun est célébré ce dimanche 21 février selon un tour classique. Mais il faudra attendre le 29 mai prochain pour voir le président François Hollande et la chancelière Angela Merkel commémorer l’événement à l’Ossuaire de Douaumont. Pourquoi un tel décalage dans l’agenda ? « Une histoire de calendrier de chefs d’Etat », renseigne-t-on à Verdun.

Bien sûr, on reparle déjà du geste fort posé en 1984 devant l’Ossuaire par François Mitterrand et Helmut Kohl. De l’amitié franco-allemande. Gageons que Hollande et Merkel en feront de même, histoire de rappeler que la réunion des énergies nationales joue traditionnellement un rôle important dans l’édification de l’Europe. A moins qu’après en avoir été le moteur, leurs pays respectifs ne se contentent de jouer les amortisseurs face aux accidents qui cabossent l’UE.

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