2010, une crise très communautaire en Belgique
Cela fait 206 jours que l’on a voté. Et 365 que Charles Michel a remis sa démission au Roi. En 2010, à pareille étape, c’était aussi la crise. Pas la même…


Deux cent six jours ont passé depuis les élections. Deux mois et demi que sept partis discutent à la table du médiateur royal. Un socialiste. Auteur d’une vraie proposition. Les vacances d’hiver se terminent. L’avancée politique semble soudain aussi probable que la fève dans la galette des rois, une chance sur six, huit, douze.
Mais, en atterrissant à Zaventem au petit matin de l’Epiphanie 2011, le froid règne. Sur la piste et dans les kiosques. « Le CD&V et la N-VA ont osé, ils ont dit neen. » Soupir, détrôner l’Irak, détenteur du record mondial de la plus longue période sans gouvernement, n’a plus rien d’inaccessible. Retour à la case départ, celle du lendemain des élections ? Non ! Parce qu’en un peu plus de six mois, les sept formations politiques n’ont pas fait que se renifler, elles ont discuté de fond.
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