Pour les démocrates, l’ancien homme d’affaires a trahi le serment de sa fonction. « Pire que Nixon », ne cessent-ils de répéter. Et Nancy Pelosi dit n’avoir eu d’autre choix que de lancer, le 24 septembre, cette procédure de destitution.
« C’est un fait établi que le président représente une menace constante pour notre sécurité nationale et l’intégrité de nos élections », a-t-elle lancé mercredi dans l’hémicycle.
« JE N’AI RIEN FAIT DE MAL ! » : le milliardaire républicain, qui devrait devenir le troisième président des Etats-Unis à subir un « impeachment », s’est une nouvelle fois posé en victime d’une chasse aux sorcières orchestrée par une « gauche radicale » qui n’aurait pas digéré sa victoire surprise de 2016.
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