Georges-Louis Bouchez
Le feu follet du conseil communal de Mons a grimpé, grimpé, jusqu’à la présidence de son parti, le MR, et une mission d’informateur.

Et si l’année 2019 était avant tout celle de Georges-Louis Bouchez ? Les mèches rebelles du Montois doivent s’emballer, ses tatouages doivent rougir de plaisir. Mais le coup d’œil dans le rétroviseur ne ment pas. En janvier, où était-il, le trublion de la politique, le chien fou de la vie publique, alias l’électron libre du libéralisme ? Malgré un beau résultat dans sa ville, il brûlait son talent au conseil communal, agaçant, feu follet, en permanence dans le rapport de forces stérile (aïe, il va nous en vouloir, là).
Passons sur ses fonctions au sein du MR : délégué machin chose, porte-parole de luxe, on n’a jamais très bien compris et on n’est pas le seul… Sauf que ces étiquettes lui ont permis d’écumer les plateaux de télé, les studios radio et les pages de journaux, sur tout et son contraire, et parfois sur rien. Mais le tour de force était réel : Georges-Louis Bouchez était devenu l’élu local le plus célèbre du pays. Pas mal pour un trentenaire, mais rien de plus, vraiment.

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