Bruxelles: se former pour tirer profit de sa jeunesse
La région bruxelloise est la seule à compter plus d’entrants que de sortants sur son marché du travail. Un atout, pour peu qu’elle parvienne à former ces travailleurs dont les autres régions risquent de manquer.


Le marché de l’emploi à Bruxelles est souvent décrié : écart énorme entre une réserve de main-d’œuvre trop peu qualifiée et des emplois dans le secteur tertiaire nécessitant un diplôme, discriminations manifestes à l’embauche pour les demandeurs d’emploi d’origine étrangère, chômage des 55 ans et plus… Tout cela fait tache sur un bilan marqué par un recul prolongé du chômage au sein de la Région-Capitale. Et le fait que désormais, un peu plus de l’emploi existant revient à des gens résidant (et payant des impôts) sur son territoire.

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Et si on parlait de cette population "non-bruxellloise" que la brillante gestion et la flambée des prix a fait fuir mais qui dépendent toujours de Bruxelles pour leur subsistance? On simplifie un peu trop la situation.