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Lelièvre: les dérives des réseaux sociaux

La traque ouverte, les appels au lynchage de Michel Lelièvre sur les réseaux sociaux réduit ceux-ci à des déversoirs de haine.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 2 min

La traque ouverte contre Michel Lelièvre sur les réseaux dits « sociaux » réduit, une fois de plus, ceux-ci à des déversoirs de haine, de fake news, de vulgarité. Faut-il s’en étonner dès lors que le président de la première puissance du monde, les Etats-Unis, les utilise lui-même pour répandre en permanence ses approximations et éructations ? Faut-il s’en étonner aussi dès lors que les sociétés qui exploitent ces réseaux « zozos » préfèrent privilégier leurs intérêts commerciaux à une légitime régulation qu’elles refusent sous le prétexte d’une préservation vantée d’une liberté d’expression dévoyée ?

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17 Commentaires

  • Posté par van aubel didier, dimanche 5 janvier 2020, 17:40

    Le problème avec les meurtriers d'enfants, c'est qu'ils touchent à ce que le commun des mortels a de plus cher ! Les enfants, on n'y touche pas ! Même les vrais truands considèrent qu'on ne touche ni aux femmes ni aux enfants. Alors quand certains passent cette limite commune . . . Imaginez que l'on libère un jour Dutroux . . . il y aura probablement 200 personnes armées de kalachnikov pour l'accueillir à sa sortie de prison. Son seul endroit de survie sera l'Amazonie en feu . . .

  • Posté par Raurif Michel, lundi 30 décembre 2019, 18:00

    Il serait hautement souhaitable que les réseaux soi-disant sociaux soient supprimés ! Combien de jeunes ne sont pas suicidés à cause de ces réseaux ?

  • Posté par De greef Olivier, dimanche 29 décembre 2019, 17:37

    Honte à ces lâches qui se disent bons citoyens et commettent ces actes ignobles. En plus ils n'ont rien à voir avec cette affaire, ils étaient même pas nés pour certains. M lelievre a purgé sa peine. Le reste regarde la justice.

  • Posté par FREDERICK Christian, dimanche 29 décembre 2019, 13:52

    Honte à ces avocats qui s'émeuvent du sort réservé à un auteur d'enlèvements de jeunes filles innocentes qui ont conduit à d'atroces souffrances et finalement leur mort, plongeant des parents, des familles, des amis dans le chagrin. Ces victimes secondaires sont une nouvelle fois traumatisées par la libération d'un individu qui n'a pas sa place dans la société, et la population est outrée une fois de plus par le laxisme de la justice qui conduit trop souvent à la récidive. Honte à ces avocats qui, le même jour, auraient pu s'émouvoir du sort de plusieurs femmes maltraitées par des hommes. Honte à ces avocats, honte à ces hommes de justice qui décident la remise en liberté d'hommes dangereux pour la société, honte à cette société misogyne et patriarcale.

  • Posté par Biot Philippe, dimanche 29 décembre 2019, 11:47

    La loi, toute la loi, rien que la loi. La justice est rendue dans les tribunaux suivant des procédures très précises. par des juges professionnels. Les peines de prison ne sont pas fixées par referendum ou par sondage. Les libérations ne sont pas décidées par referendum ou par sondage. Les citoyens participent aux élections librement. C'est le seul moment ou on tient compte de leurs avis. Hors élections les citoyens ont le droit d'exprimer leurs avis mais leur opinion n'a aucun poids juridique ou autre. Les journalistes sont des citoyens comme les autres, pas des juges.

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