L’ATP Cup, nouveau symbole d’un tennis qui mue
Six semaines après la phase finale de la Coupe Davis nouvelle mouture, c’est au tour de l’ATP Cup de se dévoiler. Une compétition supplémentaire dans un paysage tennistique en plein bouleversement. Déjà historique.

Coup d’œil dans le rétroviseur, retour un an en arrière, au début du mois de janvier 2019. Kei Nishikori soulève le trophée à Brisbane (ATP 250) face à Daniil Medvedev, le régional de l’étape Alex De Minaur en fait de même à Sydney (ATP 250) en dominant Andreas Seppi et la Suisse, emmenée par le duo Roger Federer-Belinda Bencic, remporte la Hopman Cup à Perth. Trois tournois australiens qui ont disparu du calendrier masculin, trois villes qui accueillent la première édition de l’ATP Cup, une compétition mise sur pied par l’ATP – logique – pour (tenter de) concurrencer la Coupe Davis nouvelle formule lancée par l’ITF et dont la phase finale s’est tenue à Madrid du 18 au 24 novembre dernier. « Je suis triste que personne ne s’inquiète de la tenue de la Hopman Cup dans le futur », a regretté Paul McNamee, créateur de cet événement stoppé net dans son élan après 31 ans d’existence.
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