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La zone de police d’Arlon, trop souvent sur la corde raide

Le début d’année a été assez chahuté à Arlon avec une rave party improvisée qui a montré qu’en termes de gestion policière, ce n’était pas simple du tout… Et l’expulsion des zadistes de la sablière de Stockem transformée en camp retranché risque de pointer son nez dans les prochains jours…

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Journaliste de la cellule wallonne Temps de lecture: 3 min

Des effectifs limités dans les zones de police locale, ce n’est vraiment pas un scoop, mais la réalité de ce réveillon à Arlon a montré les lacunes du fonctionnement. Des lacunes qui ne font que s’accentuer depuis la réforme des polices, d’autant plus que les zones de police locales doivent venir suppléer la police fédérale, des situations désormais régulières.

Lors de la réforme en 1998, l’actuelle zone de police d’Arlon-Attert-Habay-Martelange totalisait un effectif de 115 hommes, ex-gendarmes et policiers communaux confondus. Le comité d’accompagnement de l’époque avait préconisé une structure de 127 personnes, mais les fameuses normes KUL ont limité l’effectif de la nouvelle zone à un quota de 95,5 emplois, soit 20 de moins que la réalité de terrain de l’époque.

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1 Commentaire

  • Posté par Lefèvre Jean-Luc, samedi 4 janvier 2020, 11:19

    Quand la ruralité n'intéresse plus, elle est contrainte aux pénuries. Tous les "services" de proximité sont concernés: la médecine et ses généralistes, la sécurité avec ses policiers, mais aussi ses hommes du feu, mais aussi la Protection civile délocalisée...S'en émouvoir ne suffit plus! S'en plaindre, comme gémir, disait le poète, est également lâche. Que celles et ceux qui prétendent exercer une fonction politique mettent leur mandat en jeu, comme l'ont fait récemment certains maires de France. Oseront-ils? Le courage politique est aussi à ce prix!

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