La BNB juge urgent de réduire le déficit, même en affaires courantes
Si la formation d’une coalition fédérale tarde, le gouvernement en affaires courantes devrait pouvoir contrer le dérapage budgétaire, suggère le gouverneur de la Banque nationale, Pierre Wunsch.


Chaque médaille a son revers. C’est un peu la morale du rapport annuel de la Banque nationale de Belgique (BNB), dévoilé ce vendredi. Chaque année, la Banque fait le point sur la situation économique du pays et, surtout, souligne les défis auxquels il faudra faire face.
Sur le front conjoncturel, il n’y a pas photo : la Belgique a bien mieux résisté au ralentissement économique mondial que ses voisins de la zone euro, a rappelé le gouverneur de la BNB, Pierre Wunsch.
On le sait : l’essoufflement du commerce international, sous l’effet notamment de la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine, a profondément affecté l’Allemagne et, avec elle, l’ensemble des pays partageant la monnaie unique – ce qui démontre le talon d’Achille d’une zone économique, pourtant de grande taille, mais très (trop ?) dépendante du reste du monde.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Les banques s'inquiètent... on se demande pourquoi.
Il y a quand même 15 ministres et 800 collaborateurs qui n'ont pas grand chose à faire depuis un an, alors ….