«Inceste : protégeons les enfants»
Le syndrome d'aliénation parentale (SAP), trop souvent invoqué, est un concept fallacieux dont usent les mouvements masculinistes, estime un collectif de signataires
![Image=d-20131030-32CEDH_high[1]](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_864w/2020/02/18/node_281129/27427920/public/2020/02/18/B9722587481Z.1_20200218142752_000%2BGLFFHV4UI.1-0.jpg?itok=-SD1UO3e1582110781)
Actuellement, la Belgique connaît un manque cruel de protection des mineur.e.s victimes d'inceste. En effet, le système juridique tend plutôt à protéger les auteurs présumés victimes de fausses allégations, laissant des enfants sans protection. Pourtant, l’OMS estime que l’inceste concerne 24 % des filles et 5 à 10 % des garçons .
Etat des lieux
Lorsqu'une mère apprend que son enfant est victime d'inceste et tente de le ou la défendre, elle peut être accusée d'aliénation parentale. Elle peut même être condamnée pour non-représentation d'enfant voire pour kidnapping si elle décide de ne pas confier son enfant au père incestueux. Elle risque également de perdre la garde de son enfant.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire