Burundi: la diplomatie africaine ménage le président Nkurunziza
Les pressions sur le régime restent timides. La mission de l’Union africaine a revu ses exigences à la baisse. Et le pouvoir n’est guère pressé de relancer le dialogue politique.


En dépit des sanctions économiques qui frappent durement le pays, le président burundais Pierre Nkurunziza n’a pas encore à s’inquiéter des pressions de la communauté internationale, et moins encore de l’Union africaine : succédant au secrétaire général de l’ONU, une délégation de quatre chefs africains mandatés par leurs pairs pour trouver une issue pacifique à la crise, ont passé deux jours au Burundi et leur position marque un net recul par rapport à des prises de position précédentes.

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