Grand format - L’histoire de la fresque «Le sacrifice d’Isaac» le long du canal à Bruxelles
En janvier 2017, une fresque immense attire les passants le long du canal. Elle représente un possible égorgement, le détail d’un tableau biblique du Caravage. Aujourd’hui, le graffeur anonyme sort de son silence.


Il travaille seul, accomplit ses repérages en solitaire, le temps de traverser un « petit enfer » créatif personnel et de développer en secret ses projets graphiques. Jusqu’au moment, dit-il, où il « n’a plus le choix. Ce soir, dehors, il fait peur. Mais il fait pire dedans ! » Il est prêt, et déjà l’inspiration le contraint, le pousse à sortir, à escalader les murs et escaliers de service, à emprunter les corniches, se glisser sur les toits et peindre les murs aveugles, éblouir la ville.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Ces œuvres sont abjectes et moches en plus! Beurk! ... Oeuvre d'art ? Pfff n'importe quoi! Cela rajoute à la laideur de ce quartier de Bruxelles! Chaque jour, quand je passe devant ce machin, je me dis que cette ville est devenue dégueulasse... Finalement, à bien y réfléchir, cette "oeuvre" correspond bien au quartier : le musée des horreurs!
Il y a aussi le roman "Ineffaçables" de Clarence Pitz, superbe thriller sur le même thème