Olivier Tesquet: «Les prédateurs de nos données sont invisibles»
Le journaliste d’investigation français publie « A la trace », une enquête sur les « nouveaux territoires de la surveillance ». Edifiant et glaçant.


La moindre de nos traces numériques est siphonnée par de nouveaux prédateurs. Pour Olivier Tesquet, le « capitalisme de surveillance », dont nous serions les cobayes, soulève d’immenses questions de société. Sommes-nous condamnés au déterminisme technologique ?
Vous faites partie de la première génération de natifs du Web qui ont cru au potentiel des nouvelles technologies. Ce livre est-il une remise en cause de tous vos espoirs ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Merci au Soir pour cette interview!