Ce que le PQ, vedette de la crise du coronavirus, dit de nous
La crise du coronavirus se visualise aussi dans la ruée sur le PQ. Cet auxiliaire sanitaire est tout à la fois un « objet porte-bonheur » qu’un répulsif face à la menace sanitaire.


Les peurs qui se font jour dans la crise du coronavirus s’incarnent aussi par ces images de rayons des supermarchés dévalisés de leurs stocks de papier toilette. La réserve qui s’impose par souci de bienséance nous interdirait de parler de papier-cul. Nous le dénommerons donc PQ.
Comment comprendre cette ruée sur ces produits qui ne sont pas d’une utilité alimentaire ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
En français cela s'appelle un "papier-hygiénique". A l'hygiène sans doute limitée car on ne sait trop les conditions de production et de transport alors que cela conduit à un contact, oserais-je dire "fondamental" avec notre corps. Problématique très occidentale en sus. Dans de nombreux pays, l'usage de cet outil est très limité, précisément pour des raisons d'hygiène : le japon, les pays arabes...
En voyant les hordes de cons fébriles courir faire des stock de papier WC, je me suis souvenu de l'explication que donnait un vieux dicton cité par ma grand-mère : "qui voit le coronavirus ne fait plus confiance à son anus." Il ne faut pas chercher d'explication plus loin...
Elle dit que les gens sont des abrutis