Dorothée, pharmacienne: «Quand ça va s’estomper, on aura tous mal aux jambes»
Depuis un peu plus de deux semaines, ça chauffe pour Dorothée. Pharmacienne dans une officine de Woluwe-Saint-Lambert, elle laisse chaque jour son garçon de 10 ans à la garderie de l’école pour monter au front. Les journées à rester debout sont longues.


La crise, Dorothée l’a vue se rapprocher petit à petit, des premiers cas chinois aux premières pénuries de masques et de gel désinfectant, il y a près de deux semaines. Depuis ce cap, elle ne compte plus ses heures, passées dans un rythme décrit comme « infernal » derrière la vitre en plexiglas qui la sépare de la clientèle. « En pharmacie, on n’est jamais vraiment nombreux. Là où je travaille, on est deux, et sur l’heure du midi on est seul, donc c’est compliqué de switcher. »

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