Entretien
Daniel Cohn-Bendit au «Soir»: «C’est difficile d’être jeune en 2018»

Pour lui, les révoltes c’est comme les marées : ça monte, ça descend, mais ça ne s’arrête jamais. Cela dit, il ne croit plus ni au «grand soir», ni à l’autogestion, mais à l’évolution des consciences et de la démocratie.