De l’enfer à la résurrection, ils ont vaincu le coronavirus


Le 18 mars, Laurence Demulies devait fêter ses 50 ans. Un cap symbolique, comme chaque décennie. Ce jour-là, pourtant, elle était clouée au lit. Son cadeau ? Le coronavirus. « On devait le fêter en avril. On avait même réservé une salle. On a tout annulé », narre-t-elle. D’autres avaient encore la tête au ski, sur les pistes enneigées du Val d’Aoste ou des Dolomites, ou au carnaval fêté abondamment. Comme un reste d’insouciance que le mois de mars est venu effacer.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Dans la vidéo du CHU Saint-Pierre, on dirait des tentes de guerre, dehors, sans chauffage, c'est vraiment froid comme accueil! "On donne des tickets, comme dans une boucherie!" dit le médecin urgentiste. En résumé: "vert, blanc" c'est bon, non-Covid, "rose, orange" on est Covid...