Comprendre les économies dans les soins de santé
Les uns parlent de norme de croissance, les autres de coupes sombres… Pas simple de comprendre les dépenses de santé. Une certitude : elles augmentent chaque année, mais moins que les besoins.


Sous Verhofstadt, c’était 4,5 % puis 2 %. Sous Di Rupo, on est resté à 2 % puis remonté à 3 %. Sous Michel, on a fixé la barre à 1,5 %. De quoi parle-t-on ? De la « norme de croissance » du budget des soins de santé, soit de la décision politique de majorer annuellement ce budget pour, théoriquement, maintenir le service à niveau eu égard à la pression démographique, au vieillissement de la population, à l’augmentation des coûts… Le tout hors indexation.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
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Posté par Nasse Colette, vendredi 3 avril 2020, 16:19
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Posté par elias jacques, vendredi 3 avril 2020, 12:16
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Posté par DURY Luc , vendredi 3 avril 2020, 10:22
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Posté par DURY Luc , vendredi 3 avril 2020, 10:22
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Posté par DURY Luc , vendredi 3 avril 2020, 10:22
Plus de commentairesQuelle surprise ! Avoir 8 ministres de la santé provoque un émiettement des compétences... N’est-ce pas le cas dans n’importe quel domaine ? Quand va-t-on revenir à une gestion plus proche du bon sens ? Mais naturellement, comme l’évoque un intervenant précédent, que deviendrait dans ce cas cette armée mexicaine de politiques de tout poil ? Peut-être cette crise dramatique sera-t-elle l’occasion d’une prise de conscience des béances de notre organisation et peut-être (il n’est pas interdit de rêver) se trouvera-t-il des personnes, au sein de tous les partis et dans la population en général, pour tenter de refaire fonctionner notre « brol belge » d’une manière moins alambiquée ? Merci en tout cas pour cet article aussi clair que détaillé.
Notons tout d'abord que la popularité des politiques dépend fort de la matière qu'ils traitent. Lorsque Maggie était à l'immigration, elle s'était rendue populaire par son frein à l'immigration chose souhaitée par une grande partie de la population. Déjà à ce moment elle montrait son entêtement, mais c'était bien vu. Propulsée par sa popularité, elle s'est retrouvée à la santé où elle a maintenu sa façon de faire mais là comme il s'agissait de toucher à nos prestations de santé ça s'est beaucoup moins bien passé. Maintenant, devant l'accumulation de gaffes (ses déclarations au début de l'épidémie, sa gestion du 'stock de crise', j'en passe et des meilleures) elle devrait avoir l'honnêteté intellectuelle de présenter sa démission mais non, elle continue bille en tête. On a quand même eu la délicatesse de refiler la patate chaude (gestion du matériel) à un autre politique mais De Block doit comprendre qu'elle est sur un siège éjectable et que la population ne lui pardonnera pas ses manquements et ses errements qui se sont traduits par des décès supplémentaires je pense.
Le problème, en Belgique, et peut-être dans le monde actuel, le politique ne pense qu'à sa réélection la prochaine fois. La solution, entre autres, revenir à la Belgique d'avant la scission, mais que feront les ministres en poste...... .
Le problème, en Belgique, et peut-être dans le monde actuel, le politique ne pense qu'à sa réélection la prochaine fois. La solution, entre autres, revenir à la Belgique d'avant la scission, mais que feront les ministres en poste...... .
Le problème, en Belgique, et peut-être dans le monde actuel, le politique ne pense qu'à sa réélection la prochaine fois. La solution, entre autres, revenir à la Belgique d'avant la scission, mais que feront les ministres en poste...... .