Au lendemain d’un mercato chahuté jusque dans les dernières minutes, Jesper Fredberg, le « CEO Sports » d’Anderlecht, a défendu sa politique d’austérité face à la presse. Pour le Danois, déçu du retournement de situation dans le dossier « Toffolo », sa tâche principale était de dégraisser le noyau. Pour mieux investir l’été prochain.
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