Coronavirus ou pas, le régime algérien réprime
Le nouveau président algérien Abdelmajid Tebboune n’a pas modifié l’ADN du régime. Et le bâillonnement des voix discordantes se poursuit même en période de confinement…


L’Algérie n’échappe pas à la pandémie mondiale, mais dans ce pays en proie depuis plus d’un an à une contestation massive de « la rue » qui veut se débarrasser de son régime à la fois opaque et prédateur, il se passe que le pouvoir semble tenter de profiter des événements pour mieux bâillonner les trop nombreuses voix discordantes. En attestent plusieurs condamnations à des peines de prison ferme qui ont visé des personnalités proches du « Hirak » (mouvement), comme les Algériens ont surnommé leur propre élan de protestation.

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