«Ceci est (aussi) une crise de genre!»
Les études de genre s’avèrent essentielles pour appréhender le « maintenant » et l’« après » de la crise et de la sorte éviter que les femmes et les précaires ne soient les grand·es perdant·es du (dé)confinement, affirment les membres du comité de gestion du master de spécialisation en études de genre
![Image=d-20170330-3DVWCV_high[1]](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_864w/2020/04/16/node_294982/27506584/public/2020/04/16/B9723230896Z.1_20200416163237_000%2BGA6FSTN8K.1-0.jpg?itok=PyaWwwe31587047565)
Rien ne sera plus comme avant ! »… nous aimerions le croire. Mais avant d’espérer des lendemains qui chantent, tentons de mieux saisir ce qui se joue au plus intime de nos vies confinées. Pour nous, membres du comité de gestion du master Genre, il est essentiel de lire la crise actuelle avec des lunettes de genre. En effet, cette crise n’est pas la même pour les hommes et pour les femmes. Elle remet en cause les avancées des dernières décennies et, si rien n’est fait, elle creusera davantage les inégalités. Les études de genre sont donc on ne peut plus nécessaires aujourd’hui. Souvent construite en lien étroit avec les luttes féministes, cette expertise s’avère urgente pour résoudre les défis auxquels nous sommes confronté·es aujourd’hui.

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