Benoît Dubois: «Pour l’édition belge, cette crise du coronavirus se situe entre catastrophe et apocalypse»
Pour les éditeurs belges, la situation est « apocalyptique » : – 25 à – 65 % de pertes sur le chiffre d’affaires annuel ! Pour relancer l’industrie, leur association demande l’achat massif de livres belges durant deux ans.


Il ne pouvait mieux (ou plus mal) tomber. Depuis le 1er avril, Benoît Dubois, ancien patron des éditions Averbode/Erasme, assume la direction de l’Association des éditeurs belges (Adeb). Alors qu’il s’apprêtait à mettre en place le « contrat de filière » alléchant promis par le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, il doit faire face au confinement, à la fermeture des librairies, des distributeurs, des bibliothèques, des reports massifs de publications, et la perspective d’une « casse » industrielle sérieuse d’ici l’automne.
Pour les éditeurs de littérature générale, une catastrophe ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Normal. On copie la Chine . Pourquoi? ça.....