Le norovirus, frère du coronavirus, frappe aussi en mer
La mer, comme les avions, transporte les virus. Deux porte-avions contaminés, comme la frégate belge Léopold Ier. De tout temps, les navires ont été vecteurs d’épidémies.


La mer emporte les corps, elle apporte aussi les virus dans des régions réputées exemptes d’épidémies. La mer mortelle confirme que l’immobilité recommandée, comme à terre, par les virologues est le meilleur sabre pour anéantir cette nouvelle épidémie.
Bouger, c’est transmettre. La distanciation sociale, recommandée à 1,5 mètre (1 m pour certains pays) est aussi celle qui s’impose à la mondialisation qui se concrétise par des milliers de kilomètres par des déplacements en avion ou en bateau. La crise, en Belgique a été avivée par le retour de vacanciers revenus d’Italie.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
"Porte-avions touchés " ... à croire que la rédaction du Soir joue au combat naval pour passer le temps ...