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Coronavirus: en France, la crainte d’une ébullition sociale

La colère populaire va-t-elle déferler après le déconfinement ? Les gilets jaunes peuvent-ils s’unir aux blouses blanches ? La France bout. Mais la convergence des luttes se heurte à la fragmentation du pays.

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Envoyée permanente à Paris Temps de lecture: 4 min

C’est une crainte ouvertement exprimée par le ministre de l’Intérieur. « Des réseaux d’ultra-gauche et d’ultra-droite se préparent sur internet à la sortie du confinement », avertissait début avril Christophe Castaner. Des groupes radicalisés appellent à organiser un « jour d’après ». Leur objectif : fédérer les gilets jaunes et les blouses blanches. Un scénario catastrophe : on verrait à la fois l’épidémie repartir du fait des rassemblements et le pays plongé dans le chaos.

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3 Commentaires

  • Posté par Stroobants Nathalie, lundi 27 avril 2020, 23:33

    Nathalie Kosciusko-Morizet au gouvernement ? Une machine à perdre de plus aux côtés de macron ???

  • Posté par burnotte Michel, lundi 27 avril 2020, 19:53

    eh oui, la France macroniste panique et il y a de quoi. Les familles à qui le gouvernement à imposé le camp de concentration ou la garde à vue prolongée ne va pas oublier, du moins je l'espère. Pour déboucher sur quoi. Cela dépendra de la prise de conscience collective ou du chacun pour soi.

  • Posté par lucien Orban, lundi 27 avril 2020, 20:37

    Aucune une personne qui ici ce plain toujours des ministres et autres hommes politiques ne sait ce que c'est la vie d'un politique, je vous conseille de demander à votre député de passer une semaine avec lui et pas question de rater un départ être là dès qu'il doit partir même à 10 hrs du soir pour rentrer le lendemain à 23 hrs, sans oublier les week-ends ou les jours fériés qui ne le sont pas pour eux. Parce que VOUS avez des avis très personnel sur la direction du pays, qui ne sont sûrement pas ceux de la majorité, vous et vos semblables aux idées particulières devrez vivre un an avec un travail dans une banlieue d'une ville de Russie ou de Chine, car vivre en ville avec un capital qui permet de vivre mieux que la majorité du pays est trop facile, il faut vivre comme le peuple. PS: j'ai vécu en Russie deux fois six mois en 1999 et en 2013, 1980 j'ai été en Russie invité par le PC communiste 3 jours, ou j'ai fait une série de photos fantasmagoriques ce qui m'a ouvert les yeux sur le mirage communiste, j'avais 32 ans l'âge des changements.

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