Le MAD donne carte blanche à Sébastien Bonin
Cette exposition unique apparaît presque comme un récit. Et le Mad devient galerie d’art. Une galerie d’art éphémère qui s’installe chez vous, à la maison, et où chacun est le bienvenu.


Le 19 février débutait au Botanique la première grosse exposition monographique de Sébastien Bonin. Formé en sérigraphie à La Cambre puis passé à la photographie, cet artiste né en 1977 à Bruxelles présentait ici un remarquable ensemble de peintures, médium vers lequel il s’est tourné depuis quelques années.
Si les échos de la situation en Chine et l’arrivée chez nous du coronavirus commençaient à inquiéter, personne ne se doutait encore que le mot « confinement » allait devenir le mot de l’année en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Personne ne se doutait non plus que cette exposition, comme tant d’autres, allait devoir fermer ses portes alors même qu’elle permettait au grand public de découvrir le travail très singulier d’un artiste se nourrissant lui-même de l’histoire de l’art.

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