À Cureghem, récits d’une jeunesse sous contrôle
Pour Iliass, Bali, Jawad ou Bilal, il n’aura pas fallu un confinement pour apprendre ce qu’un contrôle signifie. Après le décès du jeune Adil, pratiquement un voisin, ils racontent leur rapport à la police et leur soif d’égalité face à elle.


Ils ont la petite vingtaine, sont étudiants et ont grandi à Cureghem, au cœur d’Anderlecht. Le quartier où vivait Adil. Tous ont pris connaissance des doutes jetés par une investigation du Morgen sur les circonstances de la mort de l’adolescent. Parmi les quatre amis, certains ont bien connu le défunt. Bilal, notamment, a fait ses primaires avec lui. « Une semaine avant son décès, il était encore venu sonner chez moi pour demander si on avait besoin d’aide ».

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