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Costumière: un savoir-faire, pas un hobby à exploiter

Plutôt que de perdre des millions en commandes fantômes de masques sur Internet, ne faut-il pas privilégier la fabrication locale de qualité. C’est le pari du collectif Les Masques de Bruxelles, issu du monde théâtral et de ses costumières. Attention : tout travail mérite salaire.

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Temps de lecture: 3 min

Costumière indépendante, Annabelle Locks a travaillé pour des institutions aussi variées que le Varia, le Théâtre National ou le Théâtre de la Vie. En avril, l’artisane devait participer à la création de Cymbeline aux Martyrs. Las. Avorté à cause du coronavirus, le projet inaugurait une longue suite d’annulations de contrats pour la travailleuse. « Que fallait-il faire alors ? s’interroge Annabelle Locks Rester au chômage ? Creuser la catastrophe économique ? Se sentir comme un boulet ou trouver un moyen de créer de l’emploi pour des professionnelles diplômées qui ont un savoir-faire utile pour agir pendant la crise, à savoir coudre des masques ? »

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