Même les animaux sauvages sont impactés par la crise
En cette période de pandémie, la protection des animaux sauvages n’est plus une priorité. Parallèlement, les touristes, dont les contributions sont plus que nécessaires à l’économie locale, manquent à l’appel. Les défenseurs des animaux et les chercheurs parlent de conséquences catastrophiques.
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La pandémie n’épargne aucune région de la planète, même les animaux sont touchés à bien des égards. L’instauration de couvre-feux, les fermetures de frontières et la disparition presque totale du tourisme ont d’énormes conséquences, qu’elles soient directes ou indirectes, pour les espèces.
Ainsi, il y a actuellement du mouvement sur le marché noir des cornes de rhinocéros. Fin 2019, le kilo se vendait encore 150.000 rands (7.600 euros) en Afrique du Sud, rapporte un ranger du mondialement célèbre parc national Kruger, qui est chargé de noyauter les réseaux criminels. Le prix a désormais chuté et ne s’élève plus qu’à 30.000 rands (1.520 euros), ce qui correspond tout juste à un cinquième.

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