Dépenses: faute de vrai gouvernement, le Parlement se fait très généreux
Souvent pour aider les citoyens les plus impactés par la crise corona, les partis multiplient les propositions de loi à incidence budgétaire. Sans le corset traditionnellement imposé par un exécutif de plein exercice. La facture monte.
Je suis effarée de voir tout ce qui est déposé, en demandant plein d’argent, même sur des compétences des entités fédérées », s’étonne une députée francophone. « Quand on compte toutes les propositions, on atteint des sommes énormes », embraie un chef de groupe flamand. Un ministre : « Comme il n’y a pas de véritable majorité au Parlement, les députés votent des textes qui coûtent de l’argent, le gouvernement n’a aucun contrôle là-dessus. »
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
© Rossel & Cie - 2023
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir11 Commentaires
-
Posté par Dagnelie Raphaël, vendredi 15 mai 2020, 11:02
-
Posté par Goussaert Filip, vendredi 15 mai 2020, 10:31
-
Posté par De Ronde Michel, vendredi 15 mai 2020, 10:24
-
Posté par DE SCHRIJVER Edgar, vendredi 15 mai 2020, 10:22
-
Posté par Vynckier Albert, vendredi 15 mai 2020, 9:45
Plus de commentairesL’irresponsabilité des politiciens surtout ceux dit de gauche. Qui va payer la note. Comme d'habitude la classe moyenne.
C'est cela des partis qui sont responsables?! Sous la couverture du covid, en plus.
Très bon article de Martine Dubuisson, intéressant, informatif et professionnel !
Dans une entreprise privée, ils auraient déjà tous été déclaré en faillite. Marre de les voir claquer "notre" argent pour leur fond de commerce que sont leurs électeurs... Chacun y va un peu plus loin et fort que l'autre, et au fur et à mesure que le temps passe... et que le gouvernement ne peut plus les contrôler, les montants distribués montent en flèche, sous tous les prétextes !
comme qui dirait l'autre: "les conseilleurs ne sont pas les payeurs"